Université de Bretagne Occidentale
Située à la pointe nord ouest de la Bretagne, l’Université de Bretagne Occidentale (UBO) est une université multi-disciplinaire accueillant plus de 23 000 étudiant·e·s.
La recherche de l’Université de Bretagne Occidentale est organisée autour de 4 axes: la mer, les sciences humaines et sociales, le numérique et les mathématiques, et la santé et les agro-matériaux. L’UBO est impliquée dans de nombreuses collaborations internationales, avec la participation à plus de 17 projets H2020 sur les 5 dernières années, mais aussi sa participation à l’alliance européenne SEA-EU. Par ailleurs, l’UBO travaille avec le secteur non-académique : ONG, industriels, autorités locales.
1300 chercheur·se·s
34 laboratoires de recherche
Les chercheur·se·s de l’UBO ont accès à de nombreuses infrastructures de haut-niveau dans différents domaines :
- Caractérisation des matériaux
- Ingénierie de la performance
- Chimie
- Biotechnologies
- Génomique
- Ressources animales
- Imagerie médicale et traitement des données
- Océanographie, calcul de données marines
Lauréat·e·s accueilli·e·s à l’UBO
Pavanee Annasawmy, océanographe, étudie la distribution du micronecton
Dr Beatriz Arce Lopez, chimiste-toxicologue analytique travaillant sur les approches toxicologiques in vitro des mélanges de mycotoxines
Aude Chesnais, écologue politique, travaille sur les savoirs écologiques traditionnels
Fernando Fernandes dos Santos, informaticien, travaille sur la tolérance aux pannes des ordinateurs
Soizic Garaud, immunologiste, travaille sur l’identification de biomarqueurs prédictifs des effets secondaires aux immunothérapies
Sophie Hage, sédimentologiste, travaille sur le cycle du carbone au large du fleuve Congo
Stina Kolodzey, une écologiste marine travaillant sur le rôle du varech dans les réseaux alimentaires
Maxime Laurans, chimiste, travaille sur la valorisation de l’azote
Daniel Manzoni de Almeida, travaille sur la santé publique et l’éducation scientifique
Margaux Mathieu-Resuge, écologue, travaille sur la qualité de la nourriture des sardines
Trinetra Mukherjee, microbiologiste, travaille sur les microbes vivant dans des conditions extrêmes
Morgan Smits, biologiste marine, étudie les mécanismes d’immunité de la palourde
Lorraine Tual, géologue, travaille sur la datation des minéraux en Finistère